Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Orgonalité

24 octobre 2022

Pour en finir avec le Réchauffisme !

Climatisme

On a un gros problème, les gars !
Pas avec le réchauffement ! Non !
Avec la manière dont on en censés aborder cette « problématique », rendue tellement simpliste que c'en devient indécent !
Et pourquoi donc devrait-on se faire tant de soucis, qu'on n'en dormirait plus la nuit ?
L'Humanité est vieille, paraît-il, d'un million d'années. Ce qui veut dire qu'elle a vécu, plausiblement, entre vingt et cinquante changements climatiques d'ampleur.
Auxquels elle a survécu, en faisant ce que l'humain sait le mieux faire, s’adapter.
Mais, présentement, on n'en prend pas vraiment le chemin.
Au contraire, on nous pousse par tout les moyens à rentrer en Guerre Sainte contre le Carbone, qui ne nous a rien fait, sous sa forme Dioxyde de.
Pourquoi ?
Pourquoi tant de haine ?
Parce que des carottages, effectués dans des glaces anciennes et très anciennes, ont montré une nette corrélation entre réchauffement et taux de CO2 dans l'air !
Bien. L’œuf ou la poule ?
Qu'est ce qui provoque quoi ?
N'y aurait-il pas, quelque part, un troisième facteur encore inconnu ?
Et si...
Si on prenait les choses autrement ?
Car tout ce tintouin réchauffiste se base sur une conception absolument mécaniste du climat,( et du vivant en général, d'ailleurs ).
Selon ce point-de-vue, le « climat » planétaire est semblable à une machine à vapeur, dont il suffirait de modifier - autoritairement et/ou via la technosphère - un paramètre, pour que les choses rentrent dans le bon ordre, celui de la Croissance à l'infini de la plus-value capitaliste.
À l'inverse, prenons plutôt le risque de considérer le climat comme la manifestation externe du métabolisme planétaire.
Et admettons, pour ce faire, que les anciens avaient raison de considérer notre monde comme la Terre-Mère, une être vivant, donc.
Que, dans cette optique, les réchauffements divers ne sont, en fait, que des poussées de fièvre.
Que l'accroissement indéniable du taux de CO2 est le symptôme d'un déséquilibre métabolique.
Et voyons de près ce qui empêche l'élimination naturelle de ce trop-plein, comme on le ferait d'une personne dont la respiration se trouve frappée de déficience.
Cette Contre-Civilisation machiniste a détruit nombre d'équilibres naturels, et probablement encore bien plus que nous ne pouvons le soupçonner.
A-t-on jamais seulement envisagé qu'il pût y avoir un impact de la radioactivité, ou des ondes électromagnétiques Haute-Fréquence, sur le métabolisme énergétique de la Terre.
Je veux dire ici, en dehors de quelques rares cercles d' « initiés », qualifiés aussitôt de mystiques, de délirants, ou d’adeptes d'une infréquentable « pseudo-science » par les « sachants », ceux-là même qui contrôlent le savoir mécaniste ?
Le problème n'est-il pas, encore, toujours, et partout, cette approche strictement mécanique de ce qui vit, grouille, illumine, étincelle et baguenaude dans ce qui fait notre univers ?
Poser cette question, c'est y répondre !
Ou, en tout cas, en prendre le chemin, même si ce chemin ressemble à un sentier !
Car le climat change, oui. Et vite, très vite.
Le climat est vivant, et le Vivant ne revient jamais en arrière.
Et ce, même si l'on s'appliquait à retirer chaque particule jugée excédentaire de CO2 avec une pince-à-timbres, ou son équivalent issu des prodigieux laboratoires de notre hollywoodienne technosphère !
Alors, adaptons-nous !
Comme l'ont fait nos ancêtres !
Localement, chaque groupe humain inscrit dans un territoire déterminé, suivant les traditions et l'expérience transmise de ce qui fait les particularités de ce terroir !
Les Inuit, les « aborigènes » d'Australie, les peuples des grandes forêts tropicales, représentent les extrêmes de cette adaptation.
Et leur longévité - avant que l'Occident libéral et mécaniste s'en mêle  - prouve leur réussite.
Apprenons à vivre avec ce nouveau climat !
Car la Terre ne mourra pas.
L'Humanité, si elle rate ce passage, peut-être bien !

 

Publicité
Publicité
14 septembre 2021

Le Plaisir, antidote aux cancers

Eau

Selon Reich, la capacité de ressentir du plaisir, et de se laisser prendre par celui-ci, est absolument essentielle pour l'Immunité naturelle, et pour se protéger contre toutes les formes de cancer existantes.
Mais la capacité au plaisir se conquiert...
Voici deux longues citations, issues de ses ouvrages les plus connus.

----------------------------------------------------------------------


« L’éducation, telle qu’elle est, rend l’être humain incapable de plaisir en le cuirassant  contre le déplaisir.
 Le plaisir et la joie-de-vivre sont inconcevables sans luttes, sans expériences  douloureuses et sans conflits désagréables avec soi-même. (...) . Ce qui caractérise la santé psychique, c’est l’alternance de la lutte pénible et du bonheur, de l’erreur et de la vérité, de la faute et de la réflexion sur la faute, de la haine rationnelle et de l’amour rationnel ; en bref, la pleine vitalité dans toutes les situations possible de la vie.
Le pouvoir de tolérer le déplaisir et la peine sans fuir pour autant, après la désillusion, dans la rigidité, va de pair avec la capacité d’accepter le bonheur et de donner l’amour. Pour employer les mots de Nietzsche, celui qui veut apprendre à « jubiler jusqu’au plus haut des cieux » doit se préparer à « être rejeté dans la mort ».
Par contraste, nos notions sociales et notre éducation européenne ont transformé les jeunes –qui dépendent de leur position sociale- soit en poupées enveloppées de coton, soit en machines d’industrie ou de business desséchées, chroniquement moroses et incapables de plaisir. »
( Fonction de l’Orgasme, pp 160-161 )

---------------------------------------------------------------------------


En ce qui concerne  le cancer, voici un autre extrait qui décriy lrs conditions nécéssaires pour vraiment approcher la problématique cancéreuse d'une manière innovante.
Ceci heurte de plein fouet les certitudes établies par le dix-neuvième siècle mécaniste, bases indiscutables de la pensée dite scientifique des quarante dernières années.
On espère toujours pouvoir trouver quelque part des gens suffisamment dépourvus de formatages pour admettre la simple possibilité d’une discussion sur les prémisses qui suivent :



(…) Voici donc un bref résumé :
La maladie cancéreuse, dont le mécanisme fondamental est l'atrophie progressive du système vital, s'explique facilement quand on surmonte sa résistance à accepter en bloc les faits importants suivants :
1. Il nous faut abandonner la théorie des germes aériens et accepter la notion d'"infection endogène".
2. Il faut admettre pleinement le rôle des émotions dans les affections organiques.
3. Il faut admettre la formation de substances vivantes, animées de mouvements spontanés, à partir d'autres substances vivantes et non vivantes et même à partir de l'énergie d'orgone libre, et les observer attentivement en vue de les maîtriser sur le plan expérimental et sur celui de la technique mentale. Autrement dit, quand nous nous penchons sur le cancer, nous nous trouvons confrontés directement au problème de la biogenèse.
4. Quand nous examinons les maladies cancéreuses, nous devons placer au centre de nos efforts thérapeutiques la pathologie sexuelle tant décriée et toujours éludée.
5. Pour avoir une vue simple des problèmes du cancer, il nous faut enfin admettre l'existence d'une énergie cosmique fondamentalement nouvelle, obéissant à des lois fonctionnelles et non mécaniques, omniprésente, énergie à la quelle j'ai simplement donné le nom d'orgone.

(Wilhelm Reich, La biopathie du cancer, Payot, 1975, pour la traduction française).  



14 septembre 2021

La brutalité de l’Homme-Machine, l’humanité de l’Animal.

 

21-09-Robots

Ce texte est constitué de larges extraits du chapitre 12, § 2 de « Psychologie de Masse du Fascisme », intitulé « Rigidité biologique, inaptitude à la liberté, conception mécanique et autoritaire de la vie » (  Payot, 1974 ). Il est nécéssaire de rappeler le point de vue de Reich concernant la question d’une nature humaine essentiellement distincte de celle de l’animal, surtout en ces temps de wokenisme et de trans-n'importe quoi....

21-09-Écureuil

²              L’Homme est au fond un animal. À la différence de l’homme, les animaux ne sont pas des robots, ne sont pas sadiques, leurs sociétés ( à l’intérieur de la même espèce ) sont infiniment plus pacifiques que celles des hommes. La question fondamentale qui se pose est la suivante : qu’est ce qui a poussé l’homme à dégénérer en robot ?
               Quand je parle de l’animal, je ne songe à rien de méchant, de cruel ou d »inférieur », mais à un fait biologique. L’homme a développé une curieuse conception, aux termes de laquelle il ne serait pas un animal, mais précisément un « homme » s’étant débarrassé de tous les attributs « méchants » et « bestiaux ».
L’homme se distancie par tous les moyens du méchant animal et se réclame, pour justifier sa « supériorité », de la culture et de la civilisation qui le distinguent de l’animal. Il prouve par son attitude, par ses « théories  des valeurs, ses philosophies morales, son « éthique » , etc., qu’il veut oublier le fait qu’il est au fond un animal qui a bien plus en commun avec l’»animal » qu’avec ce qu’il croit être et dont il rêve.
Le « surhomme » germanique tire son origine de cet effort de l’homme pour se distancier de l’animal. Il atteste par sa méchanceté, par son incapacité de vivre en paix avec ses congénères, par des guerres incessantes, qu’il se distingue des autres animaux seulement par son sadisme démesuré ainsi que par la trinité mécanicienne qui a nom conception autoritaire de la vie, science mécaniste et machine.
               Lorsqu’on jette un coup d’œil sur les résultats de la civilisation à travers les âges, on constate que les affirmations des hommes ne sont pas seulement fausses, mais qu’elles semblent faites exprès pour faire oublier aux hommes qu’ils sont des animaux. D’où viennent les illusions des hommes sur leur propre compte et comment de telles illusions ont-elles pu naître ?
        La vie de l’homme est scindée en deux : une partie de sa vie obéit aux lois biologiques ( satisfaction sexuelle, alimentation, attachement à la nature ), une autre est déterminée par la civilisation mécanicienne (idées mécanistes sur sa propre organisation, sur sa prédominance par rapport au royaume des « bêtes », son comportement envers d’autres groupes humains, fondé sur des considérations de race et de classe, concepts de valeurs en matière de propriété, de non-propriété, de science et de religion, etc. ).
               L’être et la pensée de l’homme se déroulent sur deux plans à la fois : il est animal et il n’est pas animal ; à l’enracinement biologique d’un côté s’oppose son évolution technique de l’autre. TOUS les concepts que l’homme a élaborés sur sa propre nature s’appuient sur l’exemple des machines qu’il a créées. La construction des machines et le maniement des machines ont fait croire à l’homme qu’il s’est développé lui-même avec sa machine et par sa machine pour aboutir à quelque chose de plus « élevé ».
D’autre part, l’homme a conféré à la machine un aspect et une mécanique rappelant l’animal. (...)
Les produits de sa technique mécanique constituent donc une extension du domaine de l’homme. Les machines prolongent efficacement son organisation biologique. Elles lui donnent la possibilité de dominer bien mieux la nature qu’il ne pourrait le faire avec ses seules mains. Elles lui assurent la maîtrise de l’espace et du temps ; ainsi la machine est devenue une part de l’homme, une réalité fragmentaire aimée et vénérée.
L’homme rêve que ses machines lui facilitent la vie, qu’elle le rendent plus sensible au plaisir.
               Jouir de la vie à l’aide de la machine est un vieux rêve de l’humanité. Et comment se présente la réalité ? En réalité la machine a toujours été et sera toujours l’ennemi le plus dangereux de l’homme, le menaçant de destruction s’il ne parvient pas à se distancer d’elle.
Le progrès civilisateur conditionné par le développement de la machine allait de pair avec une interprétation aussi fausse que néfaste de l’organisation biologique de l’homme. En construisant des machines, l’homme obéissait aux lois de la mécanique et de l’énergie inanimée. Cette technique avait fait des progrès remarquables avant que l’homme se soit posé la question de sa propre structure et de sa propre organisation.
Lorsqu’il osa peu à peu, d’une démarche prudente et souvent sous la menace de mort de ses semblables, découvrir ses propres organes, il interpréta ses fonctions selon les principes mis en œuvre durant des siècles pour la construction de ses machines : sont interprétation fut mécanicienne, inanimée, rigide.
               La conception mécaniste de la vie est une réplique de la civilisation mécaniste.
Mais les fonctions de la vie sont fondamentalement différentes, elles ne relèvent pas de la mécanique... L’énergie biologique spécifique, l’orgone, obéit à des lois qui ne sont ni mécaniques, ni électriques. Prisonnier de sa conception mécaniste du monde, l’homme était incapable de saisir l’aspect typiquement vivant, non mécanique, de la fonction vitale. Il rêve de créer un jour un homoncule à la Frankenstein, ou d’élaborer au moins un coeur artificiel ou une protéine artificielle. L’idée que l’homme se fait dans son imagination de l’homoncule mis au point par lui, associe ce dernier à un monstre brutal, ayant quelque ressemblance extérieure avec l’homme, mais se signalant par son allure mécanique et stupide : il est doté de forces gigantesques qui, une fois lâchées, ne sauraient être freinées ou retenues dans leur folie meurtrière. Walt Disney a fort bien concrétisé ce concept dans son film « L’Apprenti Sorcier ». Tous les produits de l’imagination mettant en scène l’homme et son organisation nous frappent par l’absence de toute expression vivante, de toute bonté, de toute sociabilité, de tout attachement à la nature. Il est en revanche significatif que l’homme confère aux animaux qu’il met en scène précisément les traits qui lui font défaut et dont il ne dote pas ses homoncules. Les films d’animaux de Walt Disney nous en fournissent la preuve.
        Dans sa propre imagination, l’ »homme » apparaît donc comme un monstre mécanique, cruel, doué de forces supra-naturelles, dépourvu de sentiments et de vie, l’animal comme un être vivant possédant toutes les qualités et toutes les faiblesses de l’homme...
Il s’agit de savoir si l’homme reproduit dans ses fantasmes une réalité. La réponse est : « oui, parfaitement ! ». Il nous décrit d’une manière expressive sa contradiction biologique interne :
 a ) : Dans l’idéologie : animal méchant – homme sublime
 b ) : Dans la réalité : animal libre et bienveillant – homme-robot brutal.
        Ainsi la machine donne, par contrecoup, à l’homme une idée mécaniste, automatique, inanimée, rigide de son organisation interne.

L’homme voit sa propre organisation de la manière suivante : le cerveau est le « produit le plus parfait » de l’évolution. Il constitue pour l’homme une « centrale », qui donne des « impulsions » aux différents organes comme le « souverain » d’une « état » donne des directives à ses « sujets ». Les organes du corps sont reliés au cerveau par des fils télégraphiques appelés « nerfs ». (...). Les nourrissons doivent prendre toutes les trois heures tant de grammes de lait et dormir tant d’heures. La nourriture doit comporter X grammes de lipides, Y grammes de protéines, Z grammes d’hydrates de carbone. (...) Les enfants font X heures de mathématiques, Y heures de chimie, Z heures de zoologie, tous de la même manière, tous doivent absorber la même quantité de savoir. Une intelligence supérieure correspond à 100 points, une intelligence moyenne à 80 points, la stupidité complète à 40 points. À 90 points, on devient docteur, à 89, on ne le devient pas.
        Le domaine psychologique est pour l’homme moderne une donnée fumeuse, mystique, ou dans la meilleure hypothèse, une sécrétion de son cerveau conservée soigneusement dans différents tiroirs. La pensée est un excrément comme les matières fécales sont les excréments des intestins. L’homme n’a pas seulement nié pendant des siècles l’existence de l’âme, il a même rejeté toute tentative visant à expliquer ses sensations et expériences psychiques. En même temps, il a élaboré un système mystique où il a casé l’univers de ses émotions. (...)
               C’est ainsi que l’homme a développé une conception de son organisation interne qui est, à la fois mécaniste, automatique et mystique. Sa compréhension biologique est restée en arrière par rapport à son habileté à construire des machines. Il a renoncé à se comprendre lui-même. La machine créée par ses soins lui a suffi pour expliquer le fonctionnement de son organisme. (...)
        Ce fossé entre l’habileté industrielle de l’homme et sa compréhension biologique est-il dû uniquement à un manque d’information ? Ou pouvons-nous supposer qu’il s’agit là d’une intention inconsciente, d’une sorte de rejet volontaire bien qu’inconscient de la compréhension de son propre organisme ? ( Quand je me livre à des expériences sur l’orgone, je m’étonne toujours que des dizaines de milliers de chercheurs remarquables n’aient jamais aperçu l’orgone atmosphérique ! )
        La réponse est nette : le manque de compréhension de la vie, son interprétation mécaniste, la surévaluation de la machine, obéissent à des intentions inconscientes. L’homme aurait fort bien pu construire, par des procédés mécaniques, des machines et comprendre en même temps la vie non-mécanique, la vie vivante. Quand on observe l’homme attentivement dans les situations importantes de son existence, on accède à la nature intime de cette intention.
        La civilisation mécanicienne n’a pas seulement amélioré l’existence animale de l’homme, elle était investie, en outre, d’une fonction subjective infiniment plus importante mais irrationnelle:  elle devait faire croire à l’homme qu’il n’est pas un animal, qu’il se distingue essentiellement de l’animal. Quel intérêt a l’homme – et c’est là la deuxième question – à proclamer sans cesse, dans le domaine de la science, de la religion, de l’art et dans toutes sortes de manifestations de la vie, qu’il est un homme et non un animal ?  Que la tâche suprême de l’homme consiste à supprimer la partie animale de son être, à entretenir des valeurs supérieures, que le « petit animal sauvage » qu’est l’enfant doit être éduqué  et transformé en être humain « supérieur » ?
               Comment se fait-il que l’homme mette autant de zèle à couper la branche biologique sur laquelle il est assis, de laquelle il est issu, et à laquelle il est indissolublement lié ? Comment se fait-il qu’il n’aperçoive pas les dommages ( maladies mentales, biopathies, sadisme, guerres ) que son reniement de sa nature biologique lui cause dans le domaine de la santé, de la culture, de l’idéologie ?
L’intelligence humaine est-elle capable d’admettre que la misère humaine ne peut être vaincue QUE si l’homme reconnaît totalement sa nature animale ?
L’homme ne comprendra-t-il jamais que ce qui le distingue des autres animaux n’est rien d’autre que l’amélioration de sa sécurité vitale, et qu’il doit mettre un terme au reniement irrationnel de sa vraie nature ?
         »Éloignons-nous de l’animal, éloignons-nous de la sexualité ! « . Voilà la devise de toutes les formations d’idéologies humaines. Peu importe le travesti choisi par telle ou telle idéologie : ainsi le fasciste parlera du « surhomme », le communiste de « l’honneur du prolétariat », le chrétien de la « nature spirituelle et morale de l’homme », le libéral des « valeurs humaines supérieures ». Au fond de tout cela, on entend toujours la même chanson monotone : « Je ne suis pas un animal ; j’ai inventé des machines ! Je n’ai pas d’organes génitaux comme l’animal ! «
[ Note du Copiste : Aujourd’hui, on dirait plutôt « Je ne suis pas déterminé comme l’animal par mes organes génitaux ». ]
        C’est là la source de la surévaluation de l’intellect, de la raison « pure », mécaniste, logique, par rapport à la « pulsion », l’opposition  de la culture à la nature, de l’esprit au corps, du travail à la sexualité, de l’État à l’individu, du « surhomme » au « sous-homme ». (...) L’homme a été assez vaniteux pour s’imaginer que la terre est le centre du monde, la seule planète habitée de l’univers ; tout aussi néfaste est sa philosophie selon laquelle l’animal serait un être sans âme et « sans morale ».
        Cette attitude, qui n’est pas naturelle, a débuté quand l’ordre patriarcal a entrepris la restructuration de l’homme dans le sens autoritaire, par la régression et le refoulement de la génitalité des petits enfants et des adolescents. La répression de la nature, de l’animal dans l’enfant a été et est encore l’instrument essentiel de la transformation de l’homme en sujet et en robot. Simultanément, se poursuivait et se ramifiait la note dominante de toute idéologie et de toute formation culturelle : « Éloignons-nous de la génitalité », « éloignons-nous de l’animal ! «. L’homme a eu recours à ces deux processus concomitants, le processus social et le processus psychologique, pour réaliser son fantasme de prendre ses distances vis-à-vis de ses origines biologiques. En même temps se précisaient et s’aggravaient ses tendances sadiques et cruelles dans le domaine des « affaires » et de la guerre, ses allures de robot, la raideur de masque de son faciès, sa cuirasse contre les émotions, ses penchants pervers et criminels. (...)
        Au cours des millénaires d’évolution mécaniste, la vision mécanicienne de la vie s’est enracinée, de génération en génération, profondément dans le système biologique de l’homme. Ce faisant, elle a effectivement modifié ses fonctions dans un sens mécaniste. Le processus de la destruction de la fonction génitale de l’homme a entraîné son engourdissement plasmatique. L’homme s’est cuirassé contre tout ce qu’il y avait de naturel, de spontané en lui, il a perdu le contact avec la fonction d’autorégulation biologique, il ressent une vive angoisse devant tout ce qui est vivant et libre.
        Cet engourdissement biologique se manifeste essentiellement par un raidissement général de l’organisme et une réduction démontrable de la mobilité plasmatique : l’intelligence est amoindrie, le sens social naturel bloqué, la psychose généralisée.
L’homme dit « civilisé » prit une allure raide, mécanique, il perdit sa spontanéité, càd qu’il tourna à l’automate, à la machine cérébrale.  Il ne croit pas seulement qu’il fonctionne comme une machine mais il fonctionne effectivement comme un robot, d’une manière mécanique. Il vit, il aime, il hait, il pense comme une machine. En s’engourdissant biologiquement, et en perdant sa fonction d’autorégulation dispensée par la nature, il adopta une série d’attitudes caractérielles dont l’aboutissement le plus extrême est la peste dictatoriale : conception hiérarchique de l’état, administration mécaniste de la société, peur des responsabilités, désir ardent d’un « leader »  [NDC : Dans la société du spectacle, identification aux « vedettes » ] et nostalgie d’autoritarisme, manie de recevoir des ordres, pensée mécaniste en matière de science naturelles, meurtre mécanisé en temps de guerre.(...)
        Or, ses fonctions corporelles, naturelles, la procréation, la naissance, la mort, le besoin sexuel, sa dépendance de la nature, lui rappellent tous les jours sa vraie origine. L’ancienne haine contre toute véritable science de la nature, qui ne se limite pas à la construction de machines, provient de cette source. Il a fallu plusieurs millénaires pour que Darwin établît l’origine animale de l’homme d’une manière irréfutable. Il a fallu autant de temps pour que Freud découvrît que l’enfant est avant tout, et d’un bout à l’autre, un être sexuel. Et quel vacarme fit l’animal humain en le découvrant !
        Il existe une corrélation étroite entre le « sentiment de supériorité » que l’homme éprouve par rapport à l’animal et le « sentiment de supériorité » qui le distancie des « Nègres », des « Juifs », des « Musulmans », des « Français », etc...Il est plus « agréable » d’être « seigneur » plutôt qu’animal.
        Pour se dissocier du règne animal, l’animal humain a rejeté, par le processus du raidissement biologique, les sensation d’organes qu’il a fini par ne plus percevoir. C’est encore aujourd’hui un dogme de la science naturelle mécaniste que les fonctions autonomes ne sont pas ressenties comme telles et que les nerfs vitaux autonomes sont inertes, alors que chaque enfant sait à l’âge de trois ans déjà que le plaisir, l’angoisse, la colère, la nostalgie ont leur siège dans le ventre, alors que la sensation du Moi n’est que la somme des sensations d’organes. En perdant ses sensations, l’homme n’a pas seulement perdu la réactivité et l’intelligence naturelles de l’animal, mais il s’est enlevé la possibilité de résoudre ses problèmes vitaux ; il a remplacé l’intelligence naturelle autorégulatrice du plasma corporel par un lutin résidant dans le cerveau, auquel il attribue par un raisonnement mystique des propriétés à la fois métaphysiques et mécaniques. De fait, les sensations somatiques de l’homme se sont effectivement engourdies et automatisées.
        Par l’éducation, la science et la philosophie de la vie, l’homme ne cesse de reproduire l’organisme-robot. Cette mutilation biologique fête ses triomphes les plus insensés dans le mot d’ordre : « Éloignons-nous de l’animal par la lutte du »surhomme » [NDC : L’homme qui a échappé à ses déterminismes biologiques] contre le sous-homme ( qui s’identifie à « l’homme du ventre » ), et l’assassinat scientifique, mécanique, rigoureux sur le plan mathématique. Or, il est impossible de tuer avec les seules philosophies mécanistes et les seules machines. C’est pourquoi on a recours au sadisme, pulsion secondaire née de la répression de la nature, seul caractère de poids distinguant, au plan structurel, l’homme de l’animal.
        Cette tragique déviation vers le mécanisme automatique n’a toutefois pas complètement effacé l’antagonisme naturel : dans le fond de son être l’homme raidi est resté un être animal. Son pelvis et ses reins ont beau être immobiles, sa nuque et ses épaules raidies, sa musculature du ventre tendue, son thorax dressé dans un geste de fierté timide, il sent néanmoins au tréfonds de son être qu’il est une partie vivante et organisée de la nature.
               Les « aspirations supérieures » de l’homme ne représentent que l’évolution biologique des énergies vitales. Elles ne peuvent être concevables que dans le cadre des lois de l’évolution naturelle, jamais contre elle. (...)
        L’appel à la liberté est un signe d’oppression. Il retentira tant que l’homme ne se sentira pas libre. Il peu prendre des aspects variés, dans le fond il ne signifie qu’une chose :la protestation contre le raidissement insupportable de l’organisme et la mécanisation des institutions vitales qui s’opposent violemment aux sensations de vie naturelles.  Si l’on assiste un jour à l’instauration d’une société où ne retentisse plus l’appel à la liberté, on pourra dire que l’homme a vaincu sa mutilation biologique et sociale et conquis la liberté authentique.
Quand l’homme reconnaîtra de nouveau sa nature animale au plein sens du terme, il pourra créer une culture authentique.





14 septembre 2021

L'Intellect, fonction défensive

21-09-14-Intellect

Selon une opinion largement répandue, l'intellect humain est essentiellement objectif et tourné vers la réalité; la morale et la philosophie affirment que l'activité intellectuelle appréhende la réalité d'une manière "incorruptible" et nettement opposée aux émotions. Cette vue ne tient pas compte de deux faits:
-Primo: la fonction intellectuelle est en elle-même une fonction orgonale.
-Secundo: la fonction intellectuelle peut être investie d'une charge émotionnelle dont l'intensité ne le cède en rien à une réaction émotionnelle pure. L'analyse ( caractérielle ) révèle en outre une fonction de défense spécifique de l'intellect. L'activité intellectuelle ressemble parfois, dans sa structure et dans osn orientation, à un mécanisme particulièrement astucieux d'escamotage des faits, à un  exercie destiné à détourner l'attention de la réalité.
L'intellect peut alors agir dans les deux directions propres à la "psychê", en allant à la rencontre du monde extérieur ou en s'en éloignant; il peut agir dans la même direction qu'une forte émotion ou en s'opposant à elle. Autrement dit, il n'y a pas de rapport mécanique, absolument antitéthique, entre l'intellect et l'émotion, mais un rapport fonctionnel.

Wilhelm Reich, "Analyse Caractérielle", pp 261-262

9 septembre 2021

Et, pour parler d'Amour...

10-08-A- 079

Parler d'amour est bien difficile.
Le vivre encore plus.
Khalil Gibran, sage d'entre les Sages, savait bien les deux.

------------------------------------------------------------------------------------------------

 

Lorsque l’amour vous fait signe, suivez-le.
Bien que ses chemins soient escarpés et sinueux.
Et quand ses ailes vous étreignent, épanchez-vous en lui,
En dépit de l’épée cachée dans son plumage qui pourrait vous blesser.
Et dès lors qu’il vous adresse la parole, croyez en lui,
Même si sa voix fracasse vos rêves, comme le vent du Nord saccage les jardins.

Car, comme l’amour vous coiffe d’une couronne, il peut aussi vous clouer sur une croix.
Et, de même qu’il vous invite à croître, il vous incite à vous ébrancher.
Autant il s’élève au plus haut de vous-même et caresse les plus tendres de vos branches qui frémissent dans le soleil,
Autant cherche-t-il à s’enfoncer au plus profond de vos racines et à les ébranler dans leurs attaches à la terre.

Pareilles à des brassées de blé, il vous ramasse et vous enlace.
Il vous bat au fléau pour vous mettre à nu,
Il vous passe au tamis pour vous libérer de votre bale.
Il vous moud jusqu’à la blancheur.
Et il vous pétrit au point de vous assouplir.
Puis il vous livre à son feu vénéré, afin que vous deveniez pain sacré pour le saint festin de Dieu.
Voilà tout ce que l’amour fera en vous afin que vous puissiez déceler les secrets de votre cœur et devenir ainsi un fragment du cœur de la Vie.
Mais si dans votre crainte vous ne recherchiez que la paix et le plaisir de l’amour,
Alors il serait préférable pour vous de couvrir votre nudité, de quitter l’aire de battage de l’amour,
Et de vous retirer vers un monde sans saisons,
Où vous pourrez rire sans laisser jaillir tous les éclats de votre rire,
Où vous pourrez pleurer sans jamais libérer toute l’amertume de vos larmes,
L’amour ne donne rien que lui-même et ne prend rien que de lui-même,
Il ne peut posséder et ne peut être possédé,
Car l’amour suffit à l’amour,
Lorsque vous aimez, ne dites pas :
« Dieu est en mon cœur »
Dites plutôt :
« Je suis dans le cœur de Dieu »
Et ne croyez pas que vous puissiez diriger le cours de l’amour,
Car si l’amour vous trouve digne, lui-même guidera votre cœur.

L’amour n’a point d’autre désir que de s’accomplir,
Mais si vous aimez et devez éprouver des désirs, que ceux-ci soient les vôtres :
Fondre en un ruisseau qui chante sa mélodie à la nuit,
Connaître la douleur d’un flot de tendresse,
Être blessé par votre propre perception de l’amour,
Et laisser couler votre sang volontairement et joyeusement,
Vous réveiller à l’aube avec un cœur ailé et rendre grâce à Dieu pour cette nouvelle journée d’amour,
Vous reposer à midi et méditer sur l’extase de l’amour,
Regagner votre foyer au crépuscule en remerciant le ciel
Puis vous endormir avec une prière pour l’être aimé en votre cœur et un chant de louanges sur vos lèvres

Khalil Gibran

 

 

Publicité
Publicité
5 septembre 2021

Chemtrails : Une légende urbaine 

21-09-05

        L’une des conséquences tout à fait logiques du refus d’envisager l’existence d’une énergie spécifique au Vivant, est l’apparition de croyances occultes diverses, tant il est vrai  que l’occulte pointe le nez dès lors que le discours dominant sur la nature du Réel commence à sonner trop faux par rapport à la perception que toute personne un peu sensible peut avoir de celle-ci.
        C’est le cas, de nos jours, pour la crise climatique en cours.
Beaucoup d’entre nous perçoivent la dégradation qualitative de l’océan d’air dans lequel nous vivons, et se rendent compte que l’augmentation –réelle – du taux de gaz carbonique ne peut à elle seule rendre compte de celle-ci.
        D’où le succès de ce qu'on pourrait appeler « légendes urbaines », dont la principale est de toute évidence celle des « Chemtrails ».
        Je vous propose ci-dessous la traduction d’un article de Joël Carlinsky qui fait le point sur la question.





        Le scénario de Croft (1) est le suivant : des Reptiliens, capables de modifier leur forme et leur apparence, pénètrent dans notre dimension par des portes invisibles :celles-ci peuvent être scellées par le placement d’un de ses appareils, nommé Grenade-Sainte-Main ( Holy Hand Grenade ) à proximité., ces portes ayant été au préalable situées par les pouvoirs psychiques que Croft et ses partisans affirment posséder.
        Les Reptiliens sont censés capables de contrôler mentalement, et de le faire effectivement, l’esprit des dirigeants politiques, et avoir de même partagé l’éducation des rejetons de familles influentes au cours des âges. (2). Les gouvernements du monde, sous l’emprise de ces Reptiliens, utiliseraient des milliers d’avions pour vaporiser dans l’atmosphère des produits chimiques toxiques, ceci afin d’éliminer l’espèce humaine.
        Croft affirme que ses inventions sont capables de faire disparaître les embruns chimiques, d’une manière ou de l’autre.
        Beaucoup des descriptions que ses partisans et lui donnent des effets de supposés épandages de produits chimiques sont en fait des descriptions de l’énergie mortelle ( DOR, pour deadly orgone ), soit engendrée par la présence d’une cargaison radioactive dans l’avion en question, de l’armement nucléaire, par exemple, soit conséquence, simplement, de la présence croissante d’énergie mortelle dans l’atmosphère, depuis le début de l’ère atomique en 1945.
        Les Croftiens observent la présence de DOR et les sensations de malaise qui l’accompagnent, mais, en comprenant mal la cause, l’attribuent à un complot imaginaire. Ils se lancent alors dans de grandioses jeu-de-rôles dignes d’un scénario d’Heroïc Fantasy, élaborant leurs scénarios à partir de ce qu’ils observent. Ils s’insèrent  eux-mêmes dans leurs scénarios avec leurs dispositifs divagatoires, et s’imaginent en train de mener une guerre éthérique contre des envahisseurs venus d’un monde parallèle.
        La Grenade-Sainte-Main ( Holy Hand Grenade ) est censée être une sorte d’accumulateur d’orgone, terme qu’ils rendent par erreur confus en parlant à la place de « générateur d’orgone » , appellation dépourvue de signification et ne renvoyant à aucun phénomène connu. Ils lui attribuent toutes sortes de pouvoirs magiques, spécialement pour démasquer les envahisseurs venus d’ailleurs.
        Le dispositif qu’ils nomment « cloudbuster », ou encore parfois « chembuster », dont ils attendent la dispersion des épandages chimiques supposés, consiste en quelques tuyaux fixés verticalement dans un récipient rempli d’un mélange de résine et de copeaux métalliques.
        Parfois, on y ajoute d’autres éléments variés, tels des cristaux, des aimants, des anneaux, des symboles magiques, et autres gadjettes « New Age ». S’ils ont quelque effet sur l’orgone de l’air, il est certainement très faible, et presque certainement aussi de courte durée.
        Croft connaît très peu la physique de l’orgone, et s’en soucie encore moins. Ce qui l’intéresse vraiment, c’est de vivre dans une bande dessinée. Les dispositifs orgonomiques sont, pour lui, les moyens de cette fin.
        Cependant, lui et ses partisans ont intégré à leurs jeux des élément réels, et sérieux : le fait que Reich lui-même affirma avoir combattu des extra-terrestres en Arizona .(3) Nous pensons qu’il se trompait, mais le fait qu’il en ait parlé de la sorte ajoute au scénario de Croft la force de son autorité.
De même, le fait que Reich et d’autres, qui découvrirent des traitements médicaux nouveaux, innovants, furent censurés par les agences officielles de régulation apporte du crédit aux tenants de la théorie du complot.
        En définitive, il est possible que le temps puisse être, à petite échelle, influencé par des pratiques telles la danse de la pluie, dans la mesure où celle-ci est effectuée par des corps bien vivants, où l’énergie peut s’écouler librement, sans être empêtrée dans la cuirasse musculaire.
        C’est facile à comprendre par la biophysique de l’orgone, mais incompréhensible pour les gens qui ne connaissent pas l’énergie vivante, ne savent rien du champ d’énergie qui entoure le corps humain, ne des effets que ce champ peut induire dans d’autres champs, y compris celui de l’atmosphère.
De sorte que la science mécaniste affirme que c’est impossible, tandis que les mystiques et les délirants parlent de surnaturel.
        Il est donc possible que certains Croftiens puissent influencer ce qui se passe dans l’air, mais ils attribueront  l’événement plutôt à leurs appareils qu’à l’interaction de leur propre champ d’énergie avec celui de leur environnement immédiat.


1- Don Croft est l’inventeur de l’orgonite, un composé de copeaux métalliques et de résine. Il s’agit peut-être d’une amélioration de la couverture à orgone, composée de couches alternées de paille de fer et de coton, mais je n’ai pas encore eu l’occasion de tester la chose sur moi-même. L’inconvénient, c’est que les résines utilisées sont toxiques, et je crains que l’adjonction, par exemple, d’une rune, même si ça modifie le prix vers le haut, ne suffise pas à compenser. (N.D.T. )

2- En soi, l’idée n’est pas totalement farfelue. Des éléments concordants semblent indiquer que la plupart des politiciens, des journalistes médiatiques et des dirigeants syndicaux sont déjà mentalement contrôlés par les Requins de la Finance. Certes, les requins sont des poissons, et non des reptiles. (N.D.T.)

3- Dans « Contact With Space », jamais traduit en Français (N.D.T.)

5 septembre 2021

Nucléaire, Micro-Ondes et Crise Climatique

21-08-19-Climat

Joël Carlinsky est un orgonomiste américain, dont la spécialité est le cloud-busting.
( Technique consistant à décharger l'atmosphère de l'énergie « négative », afin de rétablir la pulsation naturelle du champ orgonal )
Il résume ici de manière très claire le point de vue orgonal sur les bouleversements climatiques en cours.



         Depuis que j’ai sous les yeux la preuve accablante qu’il se passe dans l’atmosphère quelque chose en rapport avec la radioactivité, que la science orthodoxe n’arrive pas à expliquer alors que la science orgonomique en est capable, et jusqu’au moment où les scientifiques sortiront la tête du sable et apporteront une explication qui colle mieux aux faits, au lieu de simplement les nier, je n’aurai pas d’autre choix que de continuer à penser que Reich a raison, et la science orthodoxe, tort.
         Je suis tout à fait familier de la théorie courante de la radioactivité. Simplement, je n’y adhère pas. Je ne peux pas, étant donné que j’ai eu sous les yeux la preuve concrète que la radioactivité ne fonctionne pas comme la Physique l’affirme.
         La raison qui me fait considérer l’énergie nucléaire comme un danger intolérable est qu’il s’agit d’une chose radicalement différente de ce que croient les scientifiques.
Les physiciens pensent, suite à une expérience ratée menée par l’Académie Française ( des Sciences ) dans les années 1900, que la matière radioactive est instable, se morcèle intérieurement, et que de petits morceaux d’atomes en sont éjectés.
         Ils pensent que, si un de ces morceaux d’atome heurte une cellule, il peut l’endommager en brisant une petite partie de celle-ci.
         Ils pensent que les effets de la radioactivité peuvent être contenus par un épais récipient d’acier ou de béton.
         Toutes ces idées sont fausses.
         En fait, il n’existe rien qui ressemble à la radioactivité au sens que lui donne la science orthodoxe. La source réelle de l’énergie impliquée n’est pas interne mais externe, et se situe dans l’éther enveloppant la substance radioactive. Les matières radioactives sont des IRRITANTS qui irritent l’orgone ( éther ) environnant et l’induisent dans un état d’excitation anormale. Cet état d’excitation ( « oranur »i) produit des effets qu’on peut distinguer en primaires et secondaires.
Les effets secondaires sont ceux qui peuvent être arrêtés par le confinement et détectés par des instruments ordinaires. Les effets primaires ne peuvent, eux, être arrêtés par quelle quantité que ce soit d’aucune matière connue, et ne sont d’ordinaire pas détectables par les instruments qu’utilisent les physiciens.
         Ces effets consistent en un ralentissement de la pulsation de l’orgone, qui dans cet état est appelée « DOR » ( « deadly orgone » ndt) . Ce DOR est toxique pour tout organisme vivant, mais les symptômes qu’il engendre sont si largement variables qu’on ne peut en dresser un tableau symptomatique consistant à l’usage de la science médicale orthodoxe
         Il y a seulement un affaiblissement généralisé du fonctionnement biologique, auquel chaque individu réagit différemment, selon ses prédispositions personnelles..
         Le ralentissement de la pulsation normale de l’orgone se produisant autour du réacteur, et ceci qu’il y ait ou non une enceinte de confinement, aura aussi des conséquences sur le temps. Vu qu’il s’agit de la même énergie, à la fois dans l’atmosphère et dans l’organisme, le climat réagira de la même manière qu’un corps vivant. Il subit une diminution de sa pulsation et de sa vitalité.
         Etant donné que les effets de l’irritation radioactive ne sont pas soumis à la loi du carré inverse, il n’existe pas de réelle limite à la distance où s’exerce l’influence d’un réacteur.
         Quand j’effectuais mon travail sur l’Oranur dans le Massassuchets, je gardais un œil sur les cartes mondiales du temps. Il y eut des effets visiblement causés par mon travail en des régions aussi éloignées que l’Oregon à l’Ouest et que la Suède à l’Est. Conclusion incontournable : toute forte source d’excitation Oranur a des conséquences globales. TOUT REACTEUR NUCLEAIRE AFFECTE LA PLANETE EN ENTIER.
         C’est cela , et pas les possibles fuites de gaz ou de particules radioactives, qui constitue la réelle menace de l’énergie nucléaire.
         Aucun réacteur nucléaire, de que genre soit-il, n’est sûr et aucun ne pourra jamais être rendu sûr. L’effet Oranur ne peut être confiné et il n’y a pas de limite à la distance qu’il peut atteindre.
         Cela n’a rien à voir avec les raisons que le courant principal du mouvement antinucléaire présente au public pour le convaincre de s’opposer à l’énergie nucléaire.
J’ai parlé à beaucoup de gens du mouvement antinucléaire, y compris certains parmi les plus connus des lideurs. Certains avaient l’esprit suffisament large pour que je puisse leur exposer mes idées sur le sujet sans provoquer trop de réactions négatives.
Mais ils commençaient alors tous à expliquer que s’ils exprimaient leur désaccord avec l’establishment scientifqiue à propos de la physique nucléaire basique, non seulement ils partaient à l’échec, mais en outre seraient-ils complètement discrédités. Ils disent n’avoir d’autre choix que d’essayer d’argumenter sur le terrain de la physique conventionnelle. Passer pour des farfelus ne les aiderait pas à gagner sur le terrain politique.
         Leur raisonnement peut sembler correct, mais, dans le cadre de la science conventionnelle, ils ont tort de s’opposer à l’énergie nucléaire ; si on croit les théories de la plupart des scientifiques, l’énergie nucléaire est tout à fait sûre, ou du moins peut être rendue sûre.
         Si vous croyez les théories des physiciens classiques !
Mais je ne les crois pas . Vous bien ? Si c’est le cas, pourquoi ?
         La théorie « réchauffement global/gaz à effet de serre », telle qu’elle est d’ordinaire constituée, n’est rien d’autre qu’une arnaque de relations publiques destinée à légitimer l’énergie nucléaire. Je ne lui vois aucune autre fonction. C’est juste un moyen pour l(industrie nucléaire, ainsi que pour la machine militaire étasunienne qui a besoin des sous-produits de la réaction pour l’armement atomique, de jeter de la poudra aux yeux du public pour qu’il accepte l’idée que l’énergie nucléaire est plus sûre et plus propre que la combustion du pétrole ou du charbon..
         Le côté soi-disant scientifique qui sous-tend le mythe du réchauffement global est tellement défectueux que je ne vois pas comment quiconque peut le prendre au sérieux. Ce qui n’empêche qu’une sérieuse et dangereuse crise est REELLEMENT en cours dans l’atmosphère de cette planète et elle est REELLEMENT d’origine humaine, et non issue de quelque cycle naturel ou due à quelle cause naturelle que ce soit.
         Le climat perd sa stabilité, ses « formes » se rompent, et le temps saute aux extrêmes, avec une alternance de sécheresses et de déluges, de canicules et de vagues de froid. Les événements climatiques sévères deviennent habituels.
Le temps devient moins fiable et plus imprévisible.
         Cette «  errance » donne l’impression d’un rapport avec le scénario du « réchauffement global », et la théorie des gaz à effet de serre se base là-dessus.
Le climat est en train de changer, il ne peut y avoir le moindre doute là-dessus, mais il ne change pas dans une direction particulière. Et les changements qui se produisent n’ont rien à voir avec le CO2.
         La mobilisation actuelle concernant le réchauffement global se fonde sur la théorie que l’atmosphère est une « machine à chaleur », guidée par des écarts de température.
         La croyance que la chaleur solaire est la force motrice de l’atmosphère mène à cette croyance que la captation de plus de chaleur par les gaz dits à effet de serre induira des modifications du temps et du climat.
         Le problème avec cette théorie de la « machine à chaleur » c’est qu’elle ne peut en aucun cas expliquer comment une batterie de tuyaux métalliques raccordés à une masse d’eau peut avoir un quelconque effet sur le temps, sans mentionner la force et l’étendue de ces effets, tels qu’ils ont été régulièrement observés lors d’opérations de « cloudbusting ». Le fonctionnement effectif du « cloudbuster »ii mène directement à la conclusion que l’atmosphère doit être conduite par la charge, décharge, la pulsation et l’écoulement, l’alternance de contraction et d’expansion du champ énergétique de la terre, un champ dont fait partie l’atmosphère et dont elle dépend pour son équilibre.
Pour quiconque a une fois été convaincu de l’effet réel du « briseur de nuages » sur le temps, il devient logiquement impossible de continuer à accepter que la théorie atmosphérique de la « machine à chaleur » est juste. D’un autre côté, les preuves abondent en effet qu’il se passe quelque chose de bizarre avec le temps. Il y a effectivement des changements dans le climat. Donc, si la cause n’en est pas du côté des gaz à effet de serre, quelle est-elle ?
         La théorie orgonomique dit que les changements en cours du temps et du climat sont dus à des altérations de la pulsation et des courants de l’ »atmosphère » énergétique de la terre. On sait que ces changements sont dus à la charge de radioactivité imposée à l’environnement par les programmes nucléaires, industriel et militaire, depuis 1945. L’expérience Oranur effectuée par Reich en 1951, ainsi que de nombreuses autres observations effectuées depuis par nombre de gens, y compris mon propre travail expérimental, mènent à la conclusion que c’est la charge en radiations, non les gaz à effets de serre, qui provoquent le changement climatique.
         Ces deux théories de l’atmosphère ne se trouvent pas sur le même pied. La théorie de la « machine à chaleur » bénéficie du soutien de presque tous les scientifiques, de tous les gouvernements, et de la majorité du public..
         La théorie orgonomique est soutenue seulement par une poignée de gens, dont la plupart n(ont ni ressources, ni influence. Ajouter à cela le handicap qui consiste en ce qu’une ambiance de culte s’est développée autour des découvertes de Reich, en particulier celles qui concernent l’orgone, amenant beaucoup de gens dont le mysticisme, la paranoïa et généralement le manque de crédibilité sont flagrants, à être attirés par l’orgonomie et à discréditer par leur présence ainsi que leur évidente irrationalité les idées qu’ils disent avoir adoptées.
         Les physiciens nucléaires dissent qu’ils connaissent tout de la radioactivité mais leurs idées à ce propos sont fausses. Ils considèrent que la radioactivité est une propriété de la matière radioactive elle-même, tandis que la vision orgonomique est que le continuum énergétique environnant réagit par une excitation , qui affole des instruments et endommage les chairs.
         La théorie de la radioactivité comme désintégration interne est si fortement enracinée dans la conception commune de la physique que quiconque ayant reçu une éducation scolaire basique est capable d’en parler, et que quasiment toute la population y croit. Et cette théorie ne correspond pas aux observations faites par Reich et beaucoup d’autres à sa suite dont il découle que la radioactivité influence effectivement le climat.
         La campagne de relations publiques sur le réchauffement global et les gaz à effet de serre devient fiévreuse. C’est devenu un des deux grands événements publics de notre temps, l’autre étant la prise de contrôle des Etats-Unis par une dictature fasciste, ce qui n’est peut-être pas sans rapport )
         La campagne de promotion pour vendre à la population mondiale la nécessité de réduire les gaz à effet de serre est un grand succès. Le principal résultat pratique en a été de faire paraître l’énergie nucléaire « verte » et sûre en comparaison.
         Les principales nations du monde sont désormais prêtes à construire un très grand nombre de nouveaux réacteurs nucléaires pour prendre la place du pétrole et du charbon dans la production d’énergie.
         Le monde ne survivra  probablement pas à cette pléthore de réacteurs nucléaires.
         Ironiquement, ce seront les écologistes, par leur exigence de réduire la combustion du pétrole et du charbon relativement inoffensifs, qui nous conduiront plus près de l’extinction par leur ignorance des règles réelles du fonctionnement atmosphérique, et leur peur, maladive même si bien intentionnée, des gaz à effet de serre.

Joël Carlinsky

 

24 mai 2021

Peste Émotionnelle

Blanche-Neige

La peste émotionnelle avance masquée, toujours.
Elle se montre avenante, amicale, pleine de bonnes intentions.
Elle cherche votre adhésion, elle déploie, pour vous séduire –car elle ne connaît que cette forme-là de contact humain – tous ses charmes et toute sa bienveillance.
Elle veut la Liberté et le Bonheur Pour Tous.
Elle est très peinée quand, par hasard, on ne répond pas aussi favorablement à ses avances qu’elle estime le mériter.
Elle fait alors part de ses doutes et de ses angoisses, vous concernant.
Concernant votre état mental, vos Phobies –surtout vos Phobies-, votre soumission à de vils manipulateurs, votre manque de culture.
Elle en fait part, mais jamais à vous.
Elle en fait part à vos amis, à vos connaissances.
Elle dit que vous fermez des portes et que vous ne voulez pas comprendre la qualité de sa Bonté.
Et elle continue à avancer, toujours masquée dans la plénitude de sa Vertu.
Sans que vous le sachiez, elle change les règles du jeu.
Elle enseigne à vos enfants que ce que vous leur transmettez n’est rien d’autre que du mensonge.
Elle enseigne à vos enfants que ce qu’ils ressentent, ce qu’ils perçoivent, ce qu’ils connaissent intuitivement parce qu’ils sont les enfants de la Terre-Mère, n’est rien d’autre qu’un brouillard maléfique instillé en eux par leurs parents, et ce dès leur naissance.
Elle enseigne que les contes et les légendes qui constituent la mémoire de la sagesse humaine ne sont que des récits imposés par des mystificateurs qui n’ont pour seul but que de perpétuer la Domination.
Si vous tentez de la pointer du doigt, si vous tentez de prévenir vos frères et vos sœurs de ce qui est en train de se produire sous leurs yeux, elle aura beau jeu d’affirmer qu’elle n’existe pas et que vous devriez faire soigner votre phobie paranoïaque.
Et sans que vous le sachiez, elle continue à changer les règles de la vie en société.
En attendant, patiemment, le jour où elle pourra se dévoiler…

L'image de la "peste émotionnelle", pour tenter d'expliquer la folie qui, parfois, s'empare d'un groupe d'humains déracinés, et crée autour d'eux un égrégore maléfique qui étouffe toute pulsation vivante, a été élaborée par Wilhelm Reich dans ses premières tentatives pour expliquer le fléau nazi. Et tenter d'empêcher son retour.

 

4 mai 2021

Sortir du placard les découvertes de Wilhem Reich est une question de survie.

Reich

Il est absolument nécessaire, et urgent, de remettre les découvertes de Wilhelm Reich à l'ordre du jour.
Fût-ce clandestinement, dans les divers réseaux dits complotistes par les autorités du Globalistan.
En effet, un grand nombre de points nodaux, typiques de notre époque délitée, ont un rapport avec, ou découlent, de ses travaux.
      Le chaos sexuel du temps présent est largement imputable à la réaction des classes dominantes face à la revendication d’amour naturel qui caractérisa une importante partie du mouvement contestataire des années 60-70, revendication qui elle-mêle découlait de la découverte, par Reich, des règles biophysiques de la sexualité naturelle.
     Pour imposer l'idée d'une sexualité basée uniquement sur le mental, des « obsédés du cul », style Cohn-Bendhit et consorts, mirent son cadavre dans la naphtaline afin de s'en servir, à contre-sens absolu, pour justifier leurs lamentables  fantasmes.
    On dût, en outre, dans les années 80, faire d'un virus, guère plus dangereux qu'un quelconque Korona, une redoutable maladie justifiant la mise au pas de tous les comportements sexuels naturels.
    Ensuite, rappelons que toutes les thérapies corporelles - à l'exception du Reiki et d'éventuelles pratiques chamaniques pas trop tordues – constituant une des bases essentielles du « développement personnel », sont d'origine reichienne.
    Signalons, en passant, que la « légende urbaine » des « #chemtrails » est, elle aussi, quoique d'assez loin, d'origine reichienne, puisant sa source première dans « Contact With Space »
    Quant aux multiples enseignements, que l'on peut tirer de l'expérience «Oranur», ils pourraient nous aider, bien mieux que la théorie du CO2, à comprendre l'effondrement du métabolisme planétaire.
    Sans parler, bien sûr, de la compréhension des processus cancéreux qui, pour l'heure, constituent une source colossale de profits pour Big Pharma.
     On compte revenir sur l'ensemble de ces questions, l'une après l'autre, ici-même.

19 décembre 2020

Fiche Info : Le Woke, espèce émergente

Woke

 

 Définition Wiki ;

« Woke est un terme apparu durant les années 2010 aux États-Unis, pour décrire un état d'esprit militant et combatif pour la protection des minorités et contre le racisme. »

( voir ici en particulier...)

Origine sémantique :

« woke » est le participe passé du verbe « to wake » (s') éveiller.

On peut donc considérer qu'il a un lien avec la doctrine bouddhiste de l'illumination, la fin des illusions. ( Vu du dehors, c'est un peu l'effet que ça fait, d'ailleurs...)

Popularisé peu à peu par les progressistes européens depuis une dizaine d'années, en particulier dans leur réponse à toute argumentation quelque peu critique. Cette réponse étant, dans le meilleur des cas « Wake Up », et ce toujours dans la langue de l'Empire. Ce qui peut donner à penser à un esprit mal tourné.

 Un test : « Êtes vous « woke » ?

( on ne parle pas ici de l'état existentiel correspondant, au petit matin, à la deuxième jatte de café, ni de l'absence totale d'ego qui caractérise l' « être accompli » ou celui qui vient de recevoir une enclume sur la tête )

Voici une liste de termes caractérisant le dialogue façon « woke » :

facho, sexiste, homophobe, islamophobe, raciste, transphobe, negrophobe, réactionnaire ( ce dernier à tendance à se démoder, au profit des termes « conspirationniste » ou « complotiste » ),

-Si on vous attribué un seul de ces termes, tout espoir n'est pas perdu : la Vérité est au bout du tunnel.

-Si on vous a attribué entre deux et quatre de ces termes, il est grand temps pour vous d'aller vous agenouiller devant un quelconque représentant de la Diversité et/ou de la religion de Paix et d'Amour. ( sauf s'il est flic, là ça ne compte pas, « ACAB for ever » ).

-Si on vous a déjà attribué l'ensemble de ces termes, il est grand temps pour vous d'introduire une demande d'asile politique au Pays-du-Mal, la Russie. ( Bon, après tout, Snowden s'y trouve déjà, et si Assange ne s'était pas trompé de rue, il y serait aussi, à boire le chocolat de chez Pouchkine au lieu de servir de cobaye aux savants fous de Belmarsh )

 

Pour terminer, quelques liens pour faire plus ample connaissance.

1 - « notes sur la globalisation du wokenisme »

Un point très fouillé de la situation présente, et du fait que désormais l'ensemble du mouvement « sociétal-progressiste » se trouve englobé dans ce qui ressemble de plus en plus à un parti léniniste, Coca-Cola ™ et MacDo ™ en plus.

À noter la curieuse référence au marxisme, de la part de gens qui nient totalement l'existence de la lutte des classes, pour la remplacer par une lutte des races dont on connaît les précédents historiques...

2- « Le wokisme : des protestants puritain athées »

Très intéressant article sur ce qu'on pourrait appeler le « protestantisme zombie », force structurante des « liberals » ( c'est ainsi qu'on nomme les progressistes, « over the Ocean» ).

Un observateur pas trop distrait n'aura pas manqué d'être frappé par les références strictement religieuses du mouvement BLM.

 

Bonne lecture.

Prenez soin de vous et n'oubliez ni les gestes barrière, ni de dénoncer vos voisins à qui de droit s'ils font la bringue à Noël !

 

Publicité
Publicité
1 2 > >>
Orgonalité
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 482
Publicité